PARIS AU MOYEN ÂGE
Bibliographie thématique


Recherche par thème

 

Recherche par mot clé:

 

 

Abréviations utilisées

 


Retour à la Présentation du site

Retour à la page d'accueil

Autres sites utiles

 

 

Contrat Creative Commons

Version imprimable des résultats

Carrières




+++ VIRÉ (Marc). « Les carrières de pierre de Paris au Moyen Age » dans Mines, carrières et métallurgie dans la France médiévale, Colloque, Paris 19-21 juin 1980, éd. P. Benoît et Ph. Braustein, Paris, Éd. du CNRS, 1983.  - -
 
++ BLANC (Annie) et LORENZ (Claude). « Etude géologique des anciennes carrières de Paris : son utilité pour la connaissance et la restauration des monuments », in Proceedings of an intern. symposium, Athens, 19-13 sept; 1988 : The engineering geology of ancient works, monuments and historical sites. Rotterdam, A. Balkena, 1988, p. 639-647.  -
 
++ BLANC (Annie) et LORENZ (Claude). « Étude des pierres de l'arche de l'enceinte de Philippe Auguste sur le canal de Bièvre », Cahiers de la Rotonde, n° 17, 1996, p. 57-62.  --
 
++ BLANC (Annie), GÉLY (Jean-Pierre) et VIRÉ (Marc). « Le calcaire lutétien, ses carrières, son utilisation dans les monuments », dans Le Lutétien : la pierre de Paris, [exposition du] Muséum national d'Histoire naturelle, Paris, s.d. [2000], p. 38-46, ill., plans, bibliogr.
Pour une initiation à la géologie parisienne, aux techniques d'extraction, à la connaissance des différentes variétés de calcaire qui ont servies à la construction des monuments parisiens.
 
++ BLANC (Annie), LORENZ (Claude) et VIRÉ (Marc). « Origine des matériaux de l'ancien collège des Bernardins à Paris », dans Pierre et métal dans le bâtiment au Moyen Age, études réunies par Odette Chapelot et Paul Benoît. Paris, Éd. de l'Ecole des hautes Etudes en sciences sociales, 1985, p.237-254, 6 fig., plans.
« Le monument du XIVe siècle a été élevé avec des pierres provenant de différents bancs de calcaire du lutétien, extraits dans les anciennes carrières souterraines, proches de la vallée de la Bièvre, aux alentours du village de Saint-Marcel » (les Auteurs).
 
 
++ BLANC (Annie), LORENZ (Claude) et VIRÉ (Marc). « Le liais de Paris et son utilisation dans les monuments », dans Actes du 115e Congrès nat. des sociétés savantes, Avignon, 1990, colloque Carrières et construction, C.T.H.S., 1991, p. 247-259.  -
 
++ GOUZOUGUEC (Stéfan). « Le métier de tuilier à Paris au XVe siècle : approche sociale et organisation du travail dans la juridiction de Saint-Germain-des-Prés », Archéologie Médiévale, t. 36, 2006, p. 213-240, 2 plans, bibliogr.
« Les registres de la justice seigneuriale […] permettent d’appréhender plus finement l’organisation du travail ainsi que les rapports sociaux entre les différentes catégories d’intervenants (propriétaires de tuileries, fabricants, employés, fournisseurs) et de dégager quelques spécificités parisiennes, ainsi l’indépendance précoce de l’activité par rapport aux différents pouvoirs, sans doute due à l’importance du marché parisien de la construction » (l’Auteur).
 
++ GUINDOLLET (B.). « La fourniture de pierre à bâtir sur les chantiers de la ville de Paris (fin XVe- début XVIe siècles) », Actes du 115e Congrès des sociétés savantes, Avignon, 1990, colloque Carrières et construction, C.T.H.S.,  1991, p. 263-274.   - -
 
++ GUINI-SKLIAR (Ania), VIRÉ (Marc) et al. Les souterrains de Paris : les anciennes carrières souterraines. Cambrai, Ed. Nord patrimoine, 2000. 22 cm, 192 p., ill. -
 
++ LORENTZ (C.), FABRE (J.-C.) et TABORIN (J.). « A propos de quelques pierres de la Bastille», ch. I-3 dans Sous les pavés, la Bastille. Archéologie d'un mythe révolutionnaire, cat. expo. Hôtel de Sully, 1989-1990. [Paris], C.N.M.H.S., 1989, p. 55-57, ill.
Les pierres de la Bastille venaient probablement des carrières de Charenton.
 
++ ROBLIN (Michel). « De Lourcines à la Tombe-Issoire », Paris et Île-de-France, Mémoires,  t. XV, 1964 (1965), p. 7-42, plan.
Lourcines apparaît dans les textes à la fin du XIIe siècle. L’étude porte sur les origines de ce toponyme, sur l’extension du lieu-dit, sur ses carrières de pierres, sur la situation de la Tombe-Issoire : un tertre (tombissoire) et non une  tombe.
 
++ TARALON (J.). « Observations sur le portail central et sur la façade occidentale de Notre-Dame de Paris », Bulletin monumental, t. 149, 1991, n° IV, p. 414-417.  -
 
++ VIRÉ (Marc). « Les carrières de Paris : méthodes de recherches » dans F. Braemer et G. Deicha, dir, Les ressources minérales et l'histoire de leur exploitation, Colloque international du 108e Congrès des Sociétés Savantes, Grenoble, 1983. Paris, C.T.H.S., 1986.  - -
 
++ VIRÉ (Marc). « Approche historique des carrières de calcaire grossier sous le Val-de-Grâce de Paris », dans Actes du 117e Congrès nat. des sociétés savantes, Clermont-Ferrand, 26-30 oct. 1992, colloque Carrières et construction, C.T.H.S., 1993, p. 117-131.
Des carrières à ciel ouvert ont été en exploitation dans ce secteur dès le XIIe siècle. D'autres, souterraines, étaient très proches de l'ancien Séjour de Valois.
 
++ VIRÉ (Marc). « La carrière du ‘’Chemin de Port-Mahon’’ à Paris. Étude d’exploitations médiévales par les textes et par l’archéologie », dans Carrières et constructions en France et dans les pays limitrophes, III, [119e Congrès nat. des sociétés historiques et scientifiques, Amiens, 26-30 octobre 1994], dir. J. LORENZ. Éd. du C.H.T.S., 1996, p. 265-277, 4 fig.
Quelques rares mentions témoignent de l’exploitation des carrières de la Tombe-Issoire dès le XIVe siècle pour le compte des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Textes et traces se complètent  pour définir une histoire du lieu.
 
++ VIRÉ (Marc). « Les carrières souterraines », Paris au Moyen Âge : recherches récentes. Histoire et images médiévales, n° 9, mai-juillet 2007, p. 18-25, ill.
 
+ GÉLY (Jean-Pierre). « L’histoire de l’exploitation souterraine du calcaire grossier », dans Stratotype lutétien, Paris, M.N.H.N. – Biotope, 2008, p. 231-237.
Reprend, sans lui apporter grand-chose, l’article collectif in Le Lutétien : La pierre de Paris (++). Voir aussi les articles de Patrick DE WEVER et al. : « Le calcaire des monuments » et « Quelques monuments en calcaire lutécien », pp. 238-240 et 244-245.
 
+ GERARDS (Émile). Les anciennes carrières sous Paris. S.l., Impr. de Suresnes, 1903. In-8°, 24 p.  -
 
+ GERARDS (Émile). « Ancienneté de carrières de Paris », ch. VII dans Paris souterrain, Paris, Garnier Frères, s.d. [1909] ou Paris, D.M.I., 1991, p. 334 et suiv., ill.
Quelques maigres informations sur la periode médievale dans les trois premières pages du chapitre.
 
+ MONDOT (Jean-François). « Notre-Dame du lutétien », Notre-Dame de Paris : une nef entre deux rives. Les cahiers de Sciences & Vie, n° 96, décembre 2006, p. 28-31, ill.
 
+ SELLIER (Charles). « Les carrières à plâtre », ch. I dans Curiosités historiques et pittoresques du Vieux Montmartre, paris, H. Champion, 1904, p. 1-41.
Pour la mention d’un lieu-dit La Carrière en 1304 (p. 5) et celle d’une exploitation de plâtrière en 1373 (p. 6).