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L'orfèvrerie




+++ BARON (Françoise). « Les arts précieux à Paris aux XIVe et XVe siècles, d’après les archives de l'hôpital Saint-Jacques-aux-Pèlerins. Répertoire des artistes et des travaux », Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, nouvelle série, n° 20-21, 1984-1985 (1988), p. 59-141, 10 fig., index.
Les extraits de comptes rapportés dans cette étude font apparaitre plus d'une centaine de noms d'orfèvres ayant été en rapport avec la confrérie.
 
 
+++ Comptes de l'argenterie des rois de France au XIVe siècle, publiés pour la Société de l'histoire de France par L. DOUËT D'ARCQ. Paris, chez Jules Renouard, 1851. In-8°, LVI-432 p., table des mots techniques et table des noms.
On y trouve le premier compte de Geoffroi de Fleuri (1316) ; le compte d'Etienne de la Fontaine (1352) ; le journal de la dépense du roi Jean en Angleterre (1359-1360) ; les dépenses faites pour le mariage de Blanche de Bourbon (1352) ; un inventaire du garde-meuble de l'argenterie (1353) ; la vaisselle du roi Jean (1363).
 
+++ Nouveau recueil de comptes de l’argenterie des rois de France, publiés pour la Société de l'histoire de France par L. DOUËT D'ARCQ.  Paris, Libr. Renouard, 1874. In-8°, LXXI-360 p., tables.
On y trouve le compte de draps d'or et de soie de Geoffroi de Fleuri (1317) ; le compte d'Edouart Tadelin de Lucques (1342) ; l'inventaire des biens de Clémence de Hongrie (1318) ; le compte de l'argenterie du roi (1387).
 
+++ DELAMARE (F.), GUINEAU (B.) et BARRANDON (J.N.), «  Le ‘’chapel de fer doré’’ de Charles VI. Mise en forme, gravure et dorure. », Cahiers de la Rotonde, n° 76, 1995, p. 31-73, 26 fig., bibliogr.
« [Cette étude fait la] synthèse des observations et des analyses relevant des domaines de la physique, de la chimie et de la métallurgie effectuées, et [se propose] de reconstituer celles des étapes de la vie du casque [...] » (Les auteurs).
 
+++ FAGNIEZ (Gustave). « Inventaire du trésor de Notre-Dame de Paris, de 1343 et de 1416 », publiés et annotés par…, Revue archéologique, nouv. série, 15e année, t. 27, 1874, p. 157-165 ; 249-259 ; 389-400.
> Extr. : Paris, aux bureaux de la Revue archéologique, 1874. In-8°, 51 p.
Il ne s’agit pas de l’énumération complète des objets du culte appartenant à Notre-Dame mais de ceux conservés dans le bâtiment du trésor qui était situé au sud de l’église, à coté de l’évêché. Le premier inventaire est en latin ; le second en français.
 
+++ GABORIT-CHOPIN (Danielle). « Arts précieux : orfèvrerie, émaillerie », ch. III 2e partie dans L'Art au temps des rois maudits ; Philippe le Bel et ses fils, 1285-1328. [Cat. expo.] Paris, Grand Palais, 17 mars-29 juin 1998. Paris, Réunion des musées nationaux, 1998, p. 179-235, notices n° 113 à 154, nbr. ill.
Présentation de 42 chefs-d'œuvre d'orfèvrerie et d'émaillerie, pour la plupart réalisés à Paris. A cette époque, les clientèles royales et princières stimulent plus que jamais la création et l'innovation artistique.
 
+++ HENWOOD (Philippe). « Les orfèvres parisiens pendant le règne de Charles VI (1380-1422) », Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, no 15, 1979 (1982), p. 85-180.  - -
 
+++ KOVÁCS (Éva). L'âge d'or de l'orfèvrerie parisienne au temps des princes de Valois. Préf. de D. Gaborit-Chopin ; Texte français revu par J.C. Garreta. Dijon, Faton – [Budapest], Balassi Kiadó, 2004. In-4°, 412 p., nbr. ill., bibliogr.  -
 
+++ MOLINIER (Émile). « Inventaire du trésor de l’église du Saint-Sépulcre de Paris (1379) », Mémoires de la Société de l'histoire de Paris et de l'Île-de-France, t. IX, 1882 (1883), p. 239-286.
> Extr. : Nogent-le Rotrou, Impr. Daupeley-Gouverneur, 1883. In-8°, 48 p.
Cet inventaire est le document le plus intéressant qui nous reste concernant cette église fondée en 1325. « Tableau fidèle de ce qu’était le trésor d’une église de second ordre à Paris au XIVe siècle […] rédigé en français, il offre de nombreux exemples de mots peu connus jusqu’ici » (l’auteur).
  
+++ NOCQ (Henry). Le poinçon de Paris. Répertoire des maîtres-orfèvres de la juridiction de Paris depuis le Moyen Age jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Paris, H. Floury, 1926-1931. 5 vol. in 4°,  XVI-323 p., VII-371 p., VIII-442 p., VIII-292 p., 98 p., 54 pl., 187 ill., 23 fac-sim., plus de 860 reprod. de poinçons.
Obligatoire dès 1275, le poinçon d'un maître parisien représente toujours une fleur de lys surmontée d'une couronne, et associée à un "contreseing" propre à l'orfèvre. Les orfèvres actifs avant 1500 cités dans ce répertoire ne sont parfois connus que par une simple mention (par ex. dans les rôles de la taille de 1292 ou de 1313).
  
++ BAPST (G.). Testament du roi Jehan le Bon et inventaire de ses joyaux à Londres. Paris, 1884. In-8°.
 
++ BAPST (Germain). « Le trésor de Saint-Germain-des-Prés (1793) »,  Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Île-de-France, 13e année, 1886, p. 42 et suiv.  - -
 
++ BAPST (Germain). « Tombeau et châsse de saint Germain », Revue archéologique, t. 53 (3e série, t. IX), janv.-juin 1887, p. 144-154, pl. h.-t.
L'évêque de Paris, mort le 28 mai 576, fut enterré près de l'autel Saint-Symphorien et y resta près de 2 siècles. En 754, une translation de ses restes eut lieu en présence de Pépin le Bref, dans un autre tombeau. Après les pillages normands, le roi Eudes voulu qu'une châsse magnifique soit réalisée, dont on ignore tout. En 1408, celle-ci fut refaite par trois orfèvres parisiens, sous la forme d'une chapelle à sept piliers encadrant 6 apôtres de chaque coté. Cette châsse fut fondue en 1792.
 
++ CARRÉ (Louis). Les poinçons de l’orfèvrerie française du quatorzième jusqu’au début du dix-neuvième siècle. Paris, chez Louis Carré, 1928. In-4°, XXIII-356 p., XII pl., index.  -
Ouvrage important et recherché.
 
++ DEMORIANE (Hélène). « Les années dorées de l'émail français [XIVe-XVe s.] », Connaissance des Arts, n° 118, déc. 1961, p. 166-175, 4 pl., 8 fig.  -
 
++ DOUËT D'ARCQ (Louis-Claude). « Inventaire des joyaux de la Couronne en 1418 » dans Choix de pièces inédites relatives au règne de Charles VI, Paris, Chez Jules Renouard. T. 2, 1864, p. 279-360.
Inventaire réalisé pour Jean de Poligny, garde des joyaux de la Couronne, et récolement fait en 1420 suite au pillage des châteaux de Vincennes et de la Bastille (120 manquants sur  539 articles).
 
++ DOUËT D'ARCQ (Louis-Claude). « Inventaire de l’hôtel Saint-Pol, du Louvre et du Petit Séjour, 1420 et 1421 » dans Choix de pièces inédites relatives au règne de Charles VI, Paris, Chez Jules Renouard. T. 2, 1864, p. 361-407.  -
Inventaire de l'argenterie de l'hôtel du roi, ainsi que des objets liturgiques placées dans les chapelles royales, à l'hôtel Saint-Pol (p. 383), au Louvre (p. 384-393) et au Petit Séjour, [rue du Jour] (p. 394-407).
 
++ EGBERT (Virginia W.). « The Reliquary of Saint Germain », Burlington Magazine, CXII, juin 1970, p. 359-369.  - -
 
++ FILLON (Benjamin). « Vidimus d'une charte du 1er avril 1413 (1414), par laquelle le duc d'Orléans vend à un marchand parisien cinq pièces d'orfèvrerie », Nouvelles Archives de l'Art français, t. I,  1872, p. 131 et suiv.  - -
 
++ FLEURY (Michel). « Nouvelle observations sur le casque ou chapel doré de Charles VII », Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France, 1989, p. 141-152, ill.  -
 
++ FLEURY (Michel). « Le chapel doré de Charles VI », Les dossiers d'Archéologie, no 192, avril 1994, p. 74-88, ill.
Recherches autour de cette trouvaille exceptionnelle.
 
++ GABORIT-CHOPIN (Danielle). « Le bâton cantoral de la Sainte-Chapelle », Bulletin monumental, n° 132-1, 1974, p. 67-81, ill., 2 p.j.
Ce bâton de chantre, entré dans la trésor de la Sainte-Chapelle avant 1480, n'est plus composé que de deux parties : un buste de Constantin en agate et une monture d'orfèvrerie que réalisa l'orfèvre Hennequin du Vivier à la demande de Charles V. Le tout était autrefois fixé à l'extrémité d'un bâton [baculus cantoris] en ébène orné utilisé à la Sainte-Chapelle dès avant 1349.
 
++ GABORIT-CHOPIN (Danielle). « Les émaux translucides parisiens dans la première moitié du XIVe siècle », Archeologia, n° 162, janv. 1982, p. 32-37, ill.  -
 
++ GABORIT-CHOPIN (Danielle). « Les collections d'orfèvrerie des princes français au milieu du XIVe siècle d'après les comptes et inventaires » dans Hommage à Hubert Landais. Arts, objets d'art, collections, Étude sur l'art du Moyen Age et de la Renaissance […], Paris, 1987, p. 46-52.  - -
 
++ GABORIT-CHOPIN (Danielle). « Orfèvres et émailleurs parisiens au XIVe siècle », dans Des orfèvres sous l'ancien régime,  Actes du colloque, Nantes, 13 et 14 octobre 1989, Nantes, (Coll; Cahiers du patrimoine), 1994.  - -
 
++ GABORIT-CHOPIN (Danielle) éd. L'inventaire du trésor du dauphin futur Charles V, 1363. Les débuts d'un grand collectionneur. Nogent-le-Roi, 1996. Extr. de Société de l’art français. Archives de l’art français, nouvelle période, t. XXXII. 27 cm, XIII-141 p., [8] pl., ill., bibliogr., index.
 
++ GABORIT-CHOPIN (Danielle). « L'orfèvrerie émaillée à Paris vers 1300 », Bulletin archéologique du Comité des Travaux historiques et scientifiques, n° 27, 1999, p. 81-101, 32 fig.
Cette excellente étude fait le point des connaissances sur les différentes techniques d'émaillerie pratiquées à l'époque de Philipe le Bel : l'émaillerie champlevée, l'émaillerie cloisonnée qui triomphe à la cour du roi avec les émaux de plique, et l'émaillerie translucide sur basse-taille qui apparaît à Paris au début du XIVe siècle.
 
++ GAUTHIER (Marie-Madeleine). « Le tableau de la Crucifixion sur les évangiles ottoniens donnés par Charles V à la Sainte-Chapelle et l’orfèvrerie parisienne du temps de saint Louis », Fondation Eugène Piot. Monuments et Mémoires, publiés par l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, t. 59,1974, p. 171-208, pl., 18 fig.
Solide étude sur les origines (2e moitié du XIIIe siècle) de ce chef-d'œuvre d'orfèvrerie qu'est la reliure de l'évangéliaire ottonien.
 
++ GAUTHIER (Marie-Madeleine), « Les couvertures précieuses des manuscrits à l’usage de la Sainte-Chapelle », dans Septième centenaire de la mort de saint Louis. Actes des colloques de Royaumont et de Paris (mai 1970), Paris, Belles lettres, 1976, p. 141-163, 12 fig.
Cette étude laisse une place importante aux reproductions photographiques de ces magnifiques reliures du XIIIe siècle.
 
++ GAUTHIER (Marie-Madeleine). « Un patronage énigmatique : les orfèvres-émailleurs à Paris au temps de Philippe Auguste », dans La France de Philippe Auguste : le temps des mutations, R.H. BAUTIER dir., Colloque intern. Paris, 29 sept.- 4 oct. 1980, Paris, Ed. du CNRS, 1982, p. 981-1000, 12 pl. avec fig.
Au sujet de la "Croix" et de l"Oratoire" offerts par Philipe Auguste à Saint-Denis en 1205.
 
++ GAUTHIER (Marie-Madeleine). « Le tableau reliquaire de sainte Geneviève au musée de Cluny », Revue du Louvre, n° 2, mai 1991, p. 15-30.  -
Œuvre réalisée à Paris vers 1380.
 
++ GODEFROY-MENILGLAISE (Denis-Charles de). « État des bijoux et joyaux achetés à Paris pour Marguerite et Jeanne de Hainaut en 1323 », Annuaire-bulletin de la Société de l'Histoire de France, t. VI, 1868, p. 126 et suiv.  - -
 
++ GRASSOREILLE (Georges). « Le Trésor de Notre-Dame de Paris de 1421 à 1436 », Nouvelles Archives de l'Art français, t. IX (2e série, t. III), 1882, p. 61 et suiv.  - -
 
++ HENWOOD (Philippe). « Administration et vie des collections d'orfèvrerie royales sous le règne de Charles VI (1380-1422) », Bibliothèque de l'École des chartes, t. CXXXVIII, 1980, p. 179-215.  - -
 
++ KOVÁCS (Éva). « Problème de style autour de 1400 : l'orfèvrerie parisienne et ses sources », Revue de l'Art, no 28, 1975, p. 25-33.  - -
 
++ LABORDE (Léon de). « Inventaire du roi Charles V (21 janvier 1380) », Revue archéologique, 1ere série, t. VII, 2e partie, 1851, p. 496-509 et 731-745.
Publication partielle de l’inventaire des biens (joyaux et mobilier religieux) à la mort de Charles V, dans diverses résidences royales (le Louvre, l’Hôtel de Saint-Pol, Melun, Vincennes).
 
++ LALOU (Elisabeth). « Les sceaux », ch. VI dans L'Art au temps des rois maudits ; Philippe le Bel et ses fils, 1285-1328. [Cat. expo.] Paris, Grand Palais, 17 mars-29 juin 1998. Paris, Réunion des musées nationaux, 1998, p. 341-347, notices n° 243 à 250, fig.
Les sceaux contemporains des quatre derniers Capétiens sont particulièrement harmonieux. Les notices présentent, entre autres, les sceaux de majesté de Philippe le Bel, de Louis X, le grand sceau de Philipe V, le signet  dit de saint Louis, le sceau d'Enguerran de Marigny.
 
++ LE ROUX DE LINCY et TISSERAND (L.-M.). « Les orfèvres et "artificeulx ouvriers" » in Paris et ses historiens aux XIVe et XVe siècles, Paris, Impr. Impériale, 1867, p. 466-483.
Après quelques allusions à saint Eloi, au moine Théophile et au dictionnaire de Jean de Galande, l'étude rapporte des extraits de l'inventaire de l'argenterie du duc d'Anjou, de celui de Jean sans Peur, de celui de Louis d'Orléans concernant la fameuse nef d'or, et enfin, le texte du marché passé pour la réalisation de la chasse de saint Germain en 1408.
 
++ MERLUZZO (Paul) et PLISKA (Patrick). « Étude et restauration du casque de Charles VI », Cahiers de la Rotonde, n° 76, 1995, p. 5-30, 43 fig., 7 pl., bibliogr.
Retrouvé en 1984 dans les fouilles du Louvre, les 1000 fragments corrodés du casque ont fait l’objet d’études très poussées qui ont pu permettre la réalisation d’un fac-similé.
 
++ A. DE M. [MONTAIGLON (Anatole de)]. « Joyaux et pierreries donnés au couvent des Grands-Carmes de la place Maubert à Paris, par la reine Jeanne d'Évreux, en 1349 et 1361 », Archives de l'Art français, t. VII, 1861, p. 448 et suiv.  - -
 
++ MÜNTZ (Eugène). « L'orfèvrerie et la lingerie parisienne en Italie au XVe siècle », Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, t. XIV, 1887, p. 171-176.   - -
 
++ PANNIER (Léopold). Les joyaux du duc de Guyenne : recherches sur les goûts artistiques et la vie privée du Dauphin Louis, fils de Charles VI. Paris, Libr. académique,1873. In-8°, 72 p., IX et II p.j. Extr. de la Revue archéologique.
Louis, le troisième fils de Charles VI, fut grand amateur d’orfèvrerie, de livres et de bien d'autres choses de valeur ; les documents présentés en témoignent.
 
++ SANDRON (Dany). « L’autre métamorphose de Notre-Dame de Paris : la réfection du décor d’orfèvrerie du sanctuaire (vers 1260-1340) », in Mélanges en l’honneur de Klara Benesovska, dir. Jan Chlibec, Prague, 2015, p. 378-386. -
 
++ TABURET-DELAHAYE (Élisabeth). L'orfèvrerie gothique (XIIIe - début XVe siècle) au Musée de Cluny : catalogue. Paris, Réunion des musées nationaux, 1989. In-4°, 294 p., 157 notices, ill. in-t, bibliogr., index.   -
 
++ VAILLANT (V.-J.). « Les Mays de Notre-Dame de Paris ; la confrérie royale de Sainte-Anne et Saint-Marcel et la corporation des orfèvres de Paris », Nouvelles Archives de l'Art français, t. VIII (2e série, t. II), 1880-1881, p. 390-450.
La première chapelle des orfèvres (ou chapelle Saint-Éloi) fut ouverte au culte en 1403. Le premier May (un arbuste fleuri ?) fut déposé à Notre-Dame le 1er mai 1449 par les membres de la Confrérie de Sainte-Anne et Saint-Marcel. En 1481, l’arbre fut remplacé par un autel portatif et au XVIIe siècle par une peinture.
 
+ BONIN (T.). « Prix de la châsse de sainte Geneviève, exécutée par Bernardus, orfèvre parisien du XIIIe siècle », Archives de l'Art français, t. V, 1857-1858, p. 55 et suiv.  - -
 
+ CAZELLES (Raymond). « L'Argenterie de Jean le Bon et ses comptes », Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, 1966, p. 51-62.
Communication sur les argentiers et les différents comptes de l'Argenterie.
 
+ Dix siècles de joaillerie française. [Catalogue collectif de l'exposition organisée au] Musée du Louvre, 3 mai-3 juin 1962. Paris, Musée du Louvre, 1962. 21 cm, 157 p., ill., plan.  -
 
+ GABORIT-CHOPIN (Danielle). « Le reliquaire de saint Germain », Bulletin monumental, 1970, p. 247-248.
L’auteur émet quelques réserves sur l’article de Mme Egbert qui identifiait les prophètes en cuivre doré des musées du Louvre et de Cleveland comme provenant du reliquaire de saint Germain réalisé à Paris en 1409.
 
+ GUIFFREY (Jules). « Les Mays de Notre-Dame de Paris, d’après un manuscrit conservé aux Archives nationales », Mémoires de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, t. XIII, 1886, p. 289-316.
Concerne le XVIIe siècle, mais on trouvera toutefois, dans les premières pages, un rappel sur les transformations successives du May des orfèvres depuis 1449.
 
+ LESTOQUOY (J.). « Un émail parisien du Rijkmuseum d’Amsterdam », Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France, 1962, p. 175-179.  - -
 
+ LONGPERIER (Adrien de). « [Vase arabe dit baptistère de saint Louis] », Mémoires de l'Institut national de France. Académie des Inscriptions et  Belles-Lettres, t. 27, 1ere partie, 1877, p. 44-48.
Description et datation de ce célèbre vase conservé au Louvre. L'auteur réfute la datation de 897 et l'attribue au milieu du XIIIe siècle. [Il est maintenant daté des années 1320-1340].
 
+ PROST (B.). « Présents d’orfèvrerie offert aux rois et reines de France et aux souverains étrangers à l’occasion de leur entrée à Paris (1424-1563) », Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, 18e année, 1891, p. 166-174.
> Extr. : Nogent-le-Rotrou, Impr. Daupeley-Gouverneur, (1892). In-8°, 9 p.
Quatre extraits de comptes concernent des présents offerts par la ville de Paris avant 1500.