PARIS AU MOYEN ÂGE
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Inscriptions et épitaphes




+++ BEURRIER (Père Louis). Histoire du monastère et couvent des Pères Célestins de Paris, contenant ses antiquités et privilèges, ensemble les tombeaus et épitaphes des rois, des ducs d'Orléans et autres illustres personnes, avec le testament de Louys duc d'Orléans. Paris, chez la Vve P. Chevalier, 1634. In-4°, 429 p., front.  -
 
+++ Épitaphier du Vieux Paris. Recueil général des inscriptions funéraires des églises, couvents, collèges, hospices, cimetières et charniers depuis le Moyen Âge jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Paris, Impr. Nationale puis Paris Musées (Histoire générale de Paris). 1890 à 2000. 12 vol. gr. in-4° :
— T. I, Saint-André-des-Arcs - Saint-Benoît formé et publié par Emile RAUNIÉ, 1890. CXXVIII-392 p., fig. in-t. et 7 pl. h.-t., index.
— T. II, Bernardins-Charonne, formé et publié par Emile RAUNIÉ, 1893. XVI-530 p., fig. in et h.-t., index.
— T. III, Chartreux-Saint-Étienne-du-Mont, publié par Emile RAUNIÉ, 1901. XV-671 p., fig. in et h.-t., index.
— T. IV, Saint-Eustache - Sainte-Geneviève-la-Petite, publié par Emile RAUNIÉ, revu et mis au point par Max PRINET, 1914. 502 p., fig. in-t. et 5 pl. h.-t., index.
— T. V, fasc. 1, Saint Germain l'Auxerrois, publié par André LESORT et Hélène VERLET, 1974. LXVIII-263 p., 25 fig. in-t., bibliogr., index.
— T. V, fasc. 2, Saint-Germain des Prés-Incurables, publié par Hélène VERLET, 1985, 371 p., ill., index.
— T. VI, Les Saints-Innocents, publié par Hélène VERLET, 1989. LVI-350 p., ill., index.
— T. VII, Jacobins-Saint-Dominique-Saint-Julien le Pauvre, publié par Hélène VERLET, 1994, 428 p., ill.
— T. VIII, Saint-Landry-La Merci, publié par Hélène VERLET, 1996. 369 p., ill.
— T. IX, Saint-Merry - Saint-Nicolas du Louvre, publié par Hélène VERLET, 1997. 387 p., ill.
— T. X, Cathédrale Notre-Dame, publié par Hélène VERLET, 1995. XXX-290 p.-[2] f. plan, ill.
— T. XI, Noviciat des Jésuites - Saint-Sauveur, publié par Hélène VERLET, 1998. 477 p., ill.
— T. XII, Saint-Sépulcre - Saint-Yves, publié par Hélène VERLET, 1999. 502 p., ill.
— [T. XIII], Index général, par Hélène Verlet, […] avec un supplément aux épitaphiers des églises de la Cité et de Notre-Dame de Paris, d'après le manuscrit de Julien de Gaulle, 2000. XX-495 p.
Les 13 tomes de cette somme forment un ensemble du plus grand intérêt. Des notices historiques — trop succinctes — complètent les descriptions de tombeaux ou de monuments et les 5915 épitaphes (dont 1142 antérieures à 1500). Les armes de nombreuses personnes sont décrites. Les chapitres sont généralement précédés d’un plan du XVIIIe siècle situant les bâtiments.
 
++ Carmes de la place Maubert. S.l.s.n.s.d. [début XIXe s.]. In-4°, 48 p., pl.
Reprenait l'histoire déjà bien connue de la fondation des Carmes sur la rive droite et de son transfert sur la rive gauche. La description, assez poussée, des bâtiments et des monuments funéraires n'est pas sans intérêt.
 
 
++ CHASSEL (Jean-Luc). « La problématique des inscriptions sigillaires : l'exemple des sceaux parisiens (XIIe-XIVe siècle) », Histoire de l'écrit à Paris au Moyen Âge. Paris et Ile-de-France : Mémoires, t. 63, 2012, p. 324-344, ill.  -
 
++ DU BREUL (R.P.F. Jacques). « Des Frères Prescheurs, vulgairement appelez Jacobins », dans Le Theatre des Antiquitez de Paris. Paris, 1612, p. 498-514.
Dissertation contenant quelques extraits de chartres et plusieurs épitaphes.
 
++ DU BREUL (R.P.F. Jacques). « De l’ordre des Mathurins & de leur monastère de Paris », dans Le Theatre des Antiquitez de Paris. Paris, 1612, p. 486-498, grav.
Intéressant surtout pour les chartes de 1138 te de 1209, ainsi que pour les épitaphes anciennes.
 
++ DU BREUL (R.P.F. Jacques). « De l’hostel de Vauvert près la ville de Paris & fondation du monastère des Chartreux audit lieu », in Le Theatre des Antiquitez de Paris. Paris, 1612, p. 452-485.
Histoire du monastère et anecdotes ; les épitaphes (p. 471 et suivantes) ; les lettres de fondation de saint Louis (pp. 484-485).
 
++ DU BREUL (R.P.F. Jacques). « Des Frères Mineurs religieux mendians, nommez vulgairement Cordeliers », dans Le Theatre des Antiquitez de Paris. Paris, 1612, p. 514-526.
Rapporte les chartes de 1230 et de 1340 ainsi que plusieurs mentions d'épitaphes.
 
++ GUILHERMY (Ferdinand de) et LASTEYRIE (Robert de). Inscriptions de la France du Ve au XVIIIe siècle. Ancien diocèse de Paris. Paris, Impr. Nationale (Collection des documents inédits sur l'Histoire de France, 3e série, Archéologie), 1873-1883. 5 vol. in-4°, ill. in et h.-t, index. — T. I, 1873, XVI-820 p, 10 pl. et fig. ; — T. II, 1875, II-707 p., 8 pl. et fig. [B.A.V.P. 2313]
Les t. III à V ne concernent pas Paris.
  
++ LAMBEAU (Lucien). « L’ancien cimetière Saint-Paul et ses charniers. L'église Saint-Paul, la grange et la prison Saint-Éloi », Commission du Vieux Paris, annexe au procès-verbal de la séance du 9 novembre 1910, p. 1-55, 10 pl. h.-t., plan.
Etude rédigée à l'occasion de la démolition de maisons bâties à l'emplacement de l'église et du cimetière Saint-Pol, qui était une de plus importante nécropole de Paris. Les pièces justificatives proposent de nombreuses épitaphes dont une douzaine sont antérieures à 1500.
 
++ LE ROUX DE LINCY [(A.)] et TISSERAND (L.-M). « Les Trois Morts et les Trois Vifs » et « La Danse macabre aux charniers des Saints-Innocents » dans Paris et ses historiens aux XIVe et XVe siècles, Paris, Impr. Impériale, 1867,  p. 265-281 et p. 283-317, grav.
[1er ch. :] Après quelques commentaires sur l'origine du mythe, sa signification, les premiers dits du 13e siècle, est reproduit le Dit des trois morts et des trois vifs, qu'avait imprimé Guyot Marchant en 1486, d'après les sculptures du portail de l'église des Saints-Innocents réalisées en 1408. [2e ch. :] Voir les preuves que la Danse Macabre réalisée dans les charniers des Innocents en 1424 était bien une peinture, avec un texte pouvant être attribué à Gerson. Suit la reproduction de cette Danse Macabre, d'après l'édition de Guyot Marchant en 1485.
  
++ LUZZATTO (Philoxène). « Notices sur quelques inscriptions hébraïques du XIIe siecle découvertes dans les ruines d'un ancien cimetière israélite de Paris », Mémoire de la Société des antiquaires de France, t. XXII (3e série, t. II), 1852, p. 60-86.  -
 
++ MILLIN (Aubin-Louis). Antiquités nationales, ou recueil de monumens pour servir à l'histoire générale et particulière de l'Empire françois, tels que tombeaux, inscriptions, statues, vitraux, fresques, etc., tirés des Abbayes, Monastères, Châteaux et autres lieux devenus Domaines nationaux. A Paris, Chez Drouhin, 1790-An VII [1799]. 5 vol. in-4°, pagination multiple, 251 pl.
Ce célèbre recueil vaut surtout pour les nombreuses gravures d’œuvre disparues depuis. On ne s’attardera pas sur les développements historiques parfois peu rigoureux.
 
++ RAUNIÉ (Emile). « Eglise collégiale de Saint-Denis-du-Pas », dans Épitaphier du Vieux Paris, T. III, Paris, Impr. nationale, 1901, p. 501-515, fig., plans.
Historique avec d'importants extraits de documents. Cinq épitaphes médiévales.
 
++ Recueil des inscriptions parisiennes, publié par les soins du Service des travaux historiques. Texte éd. et annoté par Paul LE VAYER. Paris, Impr. Nouvelle  (Histoire général de Paris), 1891. In-4°, 328 p. et XLIII p. de pl., nbr. ill. [B.A.V.P. 3901].
 
 
++ S. L. [SAINT-LEGER (Abbé MERCIER de)]. « Notice des tombeaux & autres monumens transférés en septembre 1783 de l’église de Sainte-Catherine-la-Couture dans celle de Saint-Louis, rue Saint-Antoine ; précédée de la Nomenclature des principaux personnages inhumés dans cette église », Journal des Savants, 1784, p. 229-247.
Le titre présente bien le contenu. L’ensemble conserve un certain intérêt.
 
++ VERLET (Hélène). Pierres parlantes. Florilèges d’épitaphes parisiennes du Moyen Âge à la fin du XVIIIe siècle. Paris, Commission des travaux historiques de la ville de Paris, 2000. 24 cm, 108 p., ill., bibliogr.
 
++ VERLET (Hélène). « Etude sur les épitaphes du Vieux Paris », Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, 130e année, 2003, p. 135-179.
Intéressant apport à l’étude des 5915 épitaphes parisiennes recensées dans l’Épitaphier du Vieux Paris, dont 1142 sont antérieurs à l’an 1500.
 
+ AUBERT (Marcel). « Inscriptions de Notre-Dame de Paris », Commission du Vieux Paris, Procès-verbal, 2 mars 1959, Supplément au BMO du 28 avril 1959, p. 917-918.  - -
 
+ DELISLE (Léopold). « Inscriptions parisiennes du XVe siècle », Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, 7e année, 1880, p. 163-165.
Quatre épitaphes se rapportant à Jean de Blaru, à maître Arnoul astrologue de Charles VI, à maître Eudes de Creil et à Pierre de Brézé. La première de ces épitaphes était visible dans l’église Saint-Paul.
  
+ DU BREUL (R.P.F. Jacques). « Fondation de l’abbaye ou monastère de Long-champs », dans Le Theatre des Antiquitez de Paris. Paris, 1612, p. 1256-1259.
Contient sept épitaphes pour des femmes de haute noblesse.
 
+ SELLIER (Charles). « Le tombeau de la reine Adélaïde. Les sépultures conventuelles et paroissiales », ch. IX dans Curiosités historiques et pittoresques du Vieux Montmartre, Paris, H. Champion, 1904, p. 141-177.
Adélaïde était la femme de Louis VI ; elle fut enterrée dans l’abbaye de Montmartre où elle s’était retirée (1ere partie). Quelques sépultures d’abbesses de Montmartre ont été retrouvées (2e partie) ainsi qu’un certain  nombre de tombes mérovingiennes (3e partie).
 
+ TERROINE (Anne). « La pierre tombale de Jeanne de Saint-Laurent (1333) », Bulletin de la Société de l'histoire de Paris, 89e année, 1962 (1963), p. 47-61.
Dans l'église de Clichy-en-Launois se trouve la pierre tombale de la femme d'un bourgeois de Paris nommé de Saint-Laurent mais non identifié.